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That book girl
21 février 2016

TOP 5 : Les trucs qui m'énervent dans les romans

Salut !! 

Aujourd'hui j'avais envi de vous faire un top 5 (mon tout premier !), et pour démarrer cette nouvellecatégorie, j'ai choisi de m'énerver un peu (gentiment bien sûr)... En effet on va parler de trucs qui m'agacent. Pour être polie. 

Parce que oui, les livres, c'est génial, et je suis la première à le dire. Mais il y a des situations, des configurations qui sont à mon goût beaucoup, mais alors beaucoup trop présentes dans la littérature de fiction. Bien sûr je parle principalement ici de la littérature Young Adult, puisque c'est la plus populaire, et, soyons honnêtes, celle que je lis le plus, mais c'est malheureusement aussi dans les livres YA qu'on trouve les défauts que je vais citer... 

Prêts pour un petit top 5 ? Alors on y va !

5. L'héroïne "bonne soeur"

Je ne peux PLUS supporter ce genre de filles. Si vous lisez un peu, vous voyez sûrement de quoi je parle : l'héroïne bienveillante au coeur pur, toujours à vouloir faire le "bien" et à faire d'insupportables leçons de morale. Se mettre en colère, c'est mal. Être athé, c'est mal. Un bon exemple ? Anna, dans The sweet trilogy. Je ne suis pas une grande fan de la trilogie, mais je dois avouer que c'est beaucoup à cause des personnages, qui ont le don de tous m'énerver. Et là on ne parle que d'Anna... C'est typiquement le cliché de la fille au coeur pur, naïve et innocente, qui cherche à "réparer" les gens au lieu de se défendre, et qui est, pour ne rien oublier, une cruche sans pareille. Et ce genre d'héroïne, ça m'agace beaucoup. Non, personne n'est parfait, et ce qui rend un personnage attachant c'est un petit trait de caractère "imparfait" qui le rend plus humain... Parce que je peux vous assurer que peu de personnes s'identifient au personnage que je viens de décrire. 

 

4. La vierge effarouchée

Qu'une file soit vierge je veux bien. Que son copain ait plus d'expérience qu'elle, je veux bien ussi. Mais on est au 21e siècle, merde ! Oui, une fille, ça couche. Et puis même, je ne comprends pas pourquoi c'est toujours au garçon d'avoir de l'expérience, au garçon de guider la fille à travers le monde complexe de la sexualité. Et c'est aussi ce que j'ai aimé dans la trilogie La sélection : Maxon n'avait jamais embrassé de fille, mais America, elle, était déjà tombée amoureuse, et conaissait pas mal (ou du moins plus que lui) sur le désir. Et ça, c'est cool. Je ne suis pas contre un peu de clichés de temps en temps, mais parfois... Eh ben ça devient lourd. 

 

3. Le coup de foudre

On ne tombe pas amoureux d'une personne au premier regard. Ça n'est tout simplement pas possible ! C'est le plus grand défaut de Twiglight, et c'est aussi celui de The sweet trilogy, mais... Je vais éviter d'énumérer tous les défauts de cette saga aujourd'hui, ça attendra plus tard. Enfin bref, pour en revenir à min sujet, l'amour au premier coup d'oeil, c'est casse c****** et irréaliste. Et même si j'aime bien les choses irréalistes dans les livres (pourquoi lire sinon ?), parfois c'est trop, et c'est souvent tellement cliché que la romance entre les deux personnage nous insupporte plus qu'autre chose, ce qui est assez dommage.

 

2. Les gentils trop gentils

Certes, ça rejoint un peu ce que j'ai dit avant, mais les gentils parfaits m'exaspèrent. M'exaspèrent sérieusement. La fille qui ne va jamais rudoyer personne par noblese de coeur, ça m'énerve. Le gars super patient qui ne se fait pas désirer auprès de l'élue de son coeur, alors qu'lle est en pleine réflexion sentimentale, ça m'énerve aussi. C'est pour ça que j'aime le personnage de Meto dans la trilogie du même nom, ou celui de Tris das Divergente. Ils font parfois des choix pas très éthiques, mais ça ne les rend que plus humains et agréables à nos yeux. De la même manière, j'ai un problème avec les méchants trop méchants. On ne naît pas méchant, on le devient. Ou alors on est un fou avde de pouvoir, ce qui est encore quelque chose d'autre. J'avoue avoir un problème avec les personnages qui agissent d'une certaine manière juse parce qu'ils sont les méchants de l'histoire. En effet, un gentil, mais un méchant aussi, doit avoir au moins une petite faille, parce que c'est ce qui fait un bon personnage. 

 

1. Les triangles amoureux

S'il vous plaît, pas de conclusions hâtives. Je peux supporter un triangle amoureux lorsqu'il n'occupe pas la majeure partie de l'histoire, qu'on sait au fond de nous que la fllle va finir avec la bonne personne, et que ça nous frustre d'une bonne manière. Par exemple je peux citer le triangle Aspen / America / Maxon dans La sélection, que j'ai trouvé plutôt bien amené et plutôt agréable. Je savais pertinamment avec qui Ame alait finir, mais ça ne m'a pas empêcher de m'énerver toute seule devant le livre, et de ressentir un léger stress, ce qui est une sensation étonnament agréable. Non, le vrai problème, c'est quand le triangle ne semble pas avoir d'issue. Quand l'héroïne hésite pendant trois tomes, et passe de l'un, puis à l'autre, en regrettant toujours son choix. Ça, c'est fatiguant, et je n'apprécie pas particulièrement qu'un livre me prenne la tête. Ah oui, autre problème avec les triangles amoureux : la fille est toujours au milieu. Certes, avoir une héroïne c'est tendance (je déplore d'ailleurs le manque de héros masculins dans la littérature YA). J'aimerais vraiment avoir un triangle amoureux avec un garçon qui hésite entre deux filles, pourquoi pas même du point de vue de l'une des prétendantes ? Ça serait rafraïchissant et bienvenu. Je pourrais m'étendre des heures sur le sujet, mais... Ça commence à faire beaucoup, là, non ?

 

Enfin bref ! C'est tout pour ce top 5 ! Bien sûr ce n'est que mon opinion, et d'ailleurs n'hésitz surtout pas à laisser la votre en commentaire :)

Bisous à tous !

 

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